2 oct. 2021

LE VRAI VISAGE DE SCP-343 (Le Triangle SCP)

 


Rapport du Sergent Chef  Shelton- FIM bêta-8

 

    Vous connaissez le vieil adage : « On ne connait jamais vraiment la nature profonde des gens, même quand on pense tout savoir d’eux » ? Eh bien, je vais vous prouver qu’elle est on ne peut plus vrai… Et nous avons tous été berné par cette créature, alors qu’elle nous avait fait tellement de bien depuis que nous l’avions installé au sein du Site 17 de la Fondation. Grâce à elle, tellement de personnel a complètement changé en termes de comportement, obtenant de la joie de vivre, du plaisir à travailler … Que ce soient les chercheurs, le service d’entretien, l’administration, ou encore les gardes. Y compris et surtout les Classes D. Les plus soumis au stress et au sentiment de frustration, vu le peu de reconnaissance qu’en ont les dirigeants du Site.

 

    Un bien-être à priori à contre-emploi, quand on sait dans quel environnement vit le personnel de la Fondation. Même les membres du O5, bien que réticents au départ, car se référant aux travaux du Dr. Carver, le seul à avoir vu le potentiel pouvant s’avérer dangereux de SCP-343, ont fermé les yeux sur les classes B et C s’étant entretenu avec SCP-343. Avec une limite cependant aux membres possédant une accréditation de Niveau 0 à 2. Les niveaux supérieurs étant systématiquement refoulés de la zone, pour éviter toute fuite d’informations pouvant être utilisées par SCP-343.

 

    En revanche le Directeur de Site a reçu des consignes strictes concernant les Niveau 3 à supérieur, ceux-ci ne devant surtout pas s’approcher de SCP-343, pour des raisons évidentes. Les secrets détenus par ces niveaux ne pouvant prendre le risque d’être divulgués, ne sachant pas le niveau d’intelligence et de manipulation mentale de SCP-343. Une mesure de sécurité nécessaire et se conformant aux prérogatives du Dr. Carver, à l’opposé de ce que préconisait le Dr. Beck. Ce dernier, lui, voyait d’un bon ton l’influence positive, de son point de vue, de SCP-343 auprès du personnel. Et pourtant…

 

    Pourtant, nous aurions dû écouter dès le départ les recommandations du Dr. Carver. Si nous avions respecté à la lettre le processus sécuritaire au sein du Site 17, comme dans n’importe quel autre de la Fondation d’ailleurs, nous n’en serions pas à un niveau d’alerte maximale concernant SCP-343. Ceci après que celui-ci ai pu bénéficier de la naïveté de la plupart du personnel, endormi par les belle paroles de cet être tellement différent des SCP que chacun avait l’habitude de cotôyer chaque jour, nous ayant mené à ce désastre que nous n’avons pas su anticiper. A cause de notre manque de méfiance regrettable, des accréditations de niveau 4 ont pu s’approcher de lui.

 

    Une faille dans le système de surveillance des cadres administratifs en a été la cause. Aucun d’entre eux n’a eu le réflexe de penser que leur jugement n’était pas exempt d’une certaine forme de laxisme, dû à une confiance trop exacerbée envers le sujet… Une absence de lucidité qui a fait que ces Niveaux 4 ont fait part d’éléments de dossier concernant les mesures de confinement de classes Euclide et Keter du Site 17. Ce qui allait à l’encontre de toute procédure de base en termes de sécurité inhérentes au site. Le résultat a provoqué une crise sans précédent, de par les aptitudes et capacités de SCP-343, allant bien au-delà de ce que nous imaginions et ayant été consigné jusqu’alors dans les bases de données des chercheurs, et mêmes des pôles de direction.


    Mais peut-être faut-il que je précise plus en détail comment tout ça a commencé. Je me présente : je suis le Sergent-Chef Magnus Shelton, décoré de la Purple Heart, suite à ma gestion de crise durant les attaques de « Deux-Néant-Sept » en 2015. Une entité créée de toute pièces par le groupuscule de l’Insurrection du Chaos (IC) en 2011, dans le but évident de semer la discorde et une anarchie voulue qui lui aurait permis, sans mon intervention, de mettre à mal l’économie du pays. Ce qui aurait entrainé leur mainmise sur les institutions les plus fragiles, et même renverser le pouvoir en place de l’époque. Et donc, par dommage collatéral, coupé toutes les subventions permettant à la Fondation d’exister, tout simplement. Sur le long terme, la multiplication d’autres formes moindres de « Deux-Néant-Sept » aurait bouleversé les fondements même de notre société, jusqu’à un anéantissement voulu, faute d’avoir les ressources nécessaires pour parer au plus pressé, et assurer le maintien des FIM sur tout le territoire.

 

    Du pain béni pour l’Insurrection du Chaos, qui aurait ainsi eu l’avantage de s’infiltrer partout, et faire de la Fondation une appartenance du passé.  Aujourd’hui encore, on ignore l’identité des chercheurs à l’origine de la création de « Deux-Néant-Sept », et surtout comment ils ont pu opérer en toute tranquillité, malgré la surveillance constant de nos unités envers leurs planques connues. On a soupçonné des approches directes et discrètes auprès de plusieurs membres des FIM et sections de moindre importance chargées de surveiller l’organisation ennemie. Approches qui ont vraisemblablement été suivies de corruption des dirigeant de ces unités à grand coups de dollars. Si l’on s’en tient à ce scénario, la mise en place du plan de l’Insurrection du Chaos a été aisé, et à aucun moment leurs membres n’ont dû être inquiétés d’une action de la Fondation à leur encontre.

 

     Quoiqu’il en soit, cette crise reste considérée comme l’une des plus graves à laquelle on a pu être confronté. Ses proportions dramatiques demeurent sans équivalent dans toute l’histoire de la Fondation. C’est ce qui ressort des affirmations des membres 3 à 8 de l’O5. Les seuls qui étaient déjà en lice en 2015, contrairement aux autres membres qui ont tous été remplacés depuis, pour des raisons diverses. En tout cas, c’est ce qui m’a été confié lors d’une réunion de Niveau 6 auquel j’ai été convié après la crise. Le plus haut degré existant, et réservé aux cas les plus graves, afin de s’assurer de la bonne marche à suivre du processus d’après-crise auprès des gradés impliqués lors de celles-ci. Ce fut la seule fois où j’ai pu rencontrer plusieurs membres de l’O5 dans la même journée, et dans la même pièce. Ce qui fait de moi un privilégié, et me vaut toujours aujourd’hui une haute forme de respect de la part des homes sous mon commandement.


    Cette crise malheureusement mémorable a conduit à de graves dommages sur de nombreux sites qui n’ont pu être évités. En grande partie à cause d’une méconnaissance drastique des capacités de « Deux-Néant-Sept », et a eu pour résultat des pertes de sécurité vitale des Forces d’Intervention Mobiles (FIM). Ainsi que la découverte de l’existence des SCP auprès de civils. Grâce à la technologie des chercheurs de la Fondation, ces derniers ont néanmoins pu voir leur mémoire effacée. Ceci à l’aide des nombreuses FIM en faction sur le terrain. « Deux-Néant-Sept » disparut de la circulation aussi soudainement qu’il était apparu après coup, sans qu’on sache de quelle manière il avait pu réussir à nous échapper, avec toutes les déploiements de forces engagées à l’époque.

 

     Il refit cependant parler de lui en 2017, lors de son observation dans une station de métro désaffectée. Ce qui a causé l’attaque de 5 divisions de FIM, toutes distinctes l’une de l’autre, avant que « Deux-Néant-Sept » disparaisse à nouveau sous un train qui approchai. Un élément qui laisse supposer l’utilisation de failles spatio-temporelles de l’entité, probablement créée par elle. Sa résurgence, à un moment ou un autre dans un futur proche, n’est donc pas à exclure. Tant les facultés de la création des chercheurs de l’Insurrection du Chaos restent du domaine de l’inconnu. Tout comme ses dispositions à semer la destruction partout où elle passe, à un niveau inégalé, sans qu’on sache comment la freiner ni même mettre fin à ses agissements.

 

    C’est suite à ces attaques que les systèmes de verrouillage de la Fondation ont été renforcées. Notamment par l’apparition des systèmes Hive et Dive, ainsi que leurs 9 grades d’intensité. Ces derniers allant du stade Gamma-Thanatos (le plus bas) à Oméga-Tartarus (le plus haut). Il en fut de même pour la mise en place des IRA (Initiative de Réponse Automatisée) et ses 7 grades. Ceux-ci allant de Odin-D à Rindre. Autant de mesures de 1ère nécessité, voulues et créées afin d’empêcher tout dégât pouvant occasionner des brèches de confinement, et pouvant donc causer d’éventuelles évasions de SCP au-dehors des Sites. Depuis la mise en place de toutes ces mesures, la Fondation pensait être à l’abri de toute attaque extérieure. Qu’elles soient d’ordre physique ou numérique de la part d’organisations parallèles à la Fondation, mais poursuivant des objectifs différents de celle-ci. 

 

    Pour en revenir au cas du SCP et ses exactions de ces dernières semaines, comment aurions-nous pu imaginer que la découverte de ce vieil homme dans les rues de Prague, se faisant appeler « Dieu », aurait pu être les prémices d’une infiltration comme jamais la Fondation n’en avait connu ? Je faisais partie de la FIM en charge d’analyser la situation décrite par des agents de terrain, indiquant la présence d’un homme pourvu de capacités hors-normes pour un être humain. Enfin, humain en apparence en tout cas. Une fois sur place, moi et les hommes sous mes ordres, nous avons pu constater par nous-mêmes les capacités de SCP-343. Il a la possibilité de se mouvoir d’un endroit à l’autre en une fraction de seconde. Il peut être visible au pied d’un immeuble à un moment donné, et l’instant d’après on le retrouve au sommet de celui-ci.

 

    A priori insaisissable, nous fûmes surpris que celui-ci se laisse approcher très facilement. C’est même lui qui a demandé à ce qu’on l’enferme. Il affirmait qu’il avait peur de ses propres pouvoirs, craignant de faire du mal de manière involontaire autour de lui. Ceci en faisant tomber des objets dangereux pendant ses déplacements. A noter qu’au vu de ses capacités, SCP-343 ne peut pas être confiné. En conséquence, celui-ci a lui-même quasiment imposé que ses actes soient surveillés en permanence, et qu’à ce titre une cellule spéciale lui soit attribuée. Ce qui est ironique en y pensant, vu qu’il ne s’agit rien d’autre que d’un spécimen. Aussi étonnant soit-il. Des recommandations de sa part, tel qu’il l’a déclaré lui-même, afin qu’il ait un semblant d’espace de vie. Ceci en attendant que les chercheurs du Site 17 aient la possibilité de l’étudier en profondeur, comme n’importe quel autre SCP disposé derrière les murs d’un site de la Fondation.

 

    Quand l’un des membres du personnel affilié à SCP-343 demanda à ce dernier de lui montrer en quoi il méritait le nom de « Dieu », honorification qu’il s’était lui-même donnée, celui-ci se mit à marcher au plafond, aussi naturellement que cela pouvait être. Puis, il est sorti de la cellule en passant à travers les murs, avant de revenir quelques secondes plus tard avec un menu XXL d’un McDonald’s situé à plusieurs kilomètres de distance. Le tout en arborant un sourire amusé… Ce n’étaient pas les seules dispositions dont était capable SCP-343. Toute personne l’approchant ressentait une joie de vivre impressionnante. Toute sensation de déprime disparaissait, et cela pouvait aller encore plus loin.  Des maladies graves telles que cancers, hémophilie, ou problèmes cardiaques, étaient annihilés des corps, simplement par une proximité avec SCP-343.

 

    De ce fait, la présence de ce « faiseur de miracles » au sein du Site 17 eut un effet « boule de neige » : nombre de membres du personnel, toutes classes et accréditations confondues, demandèrent à approcher SCP-343. Toutes avaient l’espoir de ressentir ce bien-être et se voir guérir de leurs problèmes de santé.  Avec pour seul contrepartie l’impératif de discuter avec lui, à sa demande. Car c’était aussi un fait qui accentuait la popularité de SCP-343 auprès de tous : il était jovial et écoutait les petits malheurs de ceux venant discuter avec lui. Il leur proposait des solutions ou se chargeait de les résoudre directement. Je ne voyais pas tout ce qui se passait au sein du site de manière personnelle. Car me retrouvant souvent sur le terrain, à l’extérieur. Mais j’en avais connaissance par des gardes que je connaissais bien. Ils me rapportaient de manière régulière de nombreuses infos concernant SCP-343. Ainsi que ses « miracles ».

 

    Bientôt, la possibilité que ce dernier profite de ces moments pour obtenir des informations arriva aux oreilles de l’O5. Celui-ci mit à disposition du Site le Dr. Carver, afin d’assister le Dr. Beck. Ce dernier étant jusqu’alors le seul chercheur autorisé à étudier en profondeur le cas du SCP-343. Le Dr. Carver émit vite l’hypothèse que SCP-343 était capable de lire les pensées, et qu’il pouvait voler des données de nature confidentielles et potentiellement dangereuses. Ceci à l’insu des membres du personnel venant le « consulter », tel une sorte de gourou d’un nouveau genre. Une situation qui inquiétait l’O5. Raison pour laquelle les directives que je vous ai énoncées plus haut dans ce récit furent mises en place, à la demande du Dr. Carver. Ce qui l’opposa fermement au Dr. Beck, qui lui, voyait plutôt SCP-343 comme une sorte de stimulant au personnel du Site.

 

    Depuis l’arrivée de SCP-343, le moral du personnel d’entretien, des chercheurs, des gardes et même de l’administration n’avait jamais été aussi haut. Les sourires visibles sur les visages de tout ceux ayant eu l’autorisation de lui rendre visite s’accumulèrent. En remerciement, il fut accordé par le directeur du site, en accord avec l’O5 qui se tenait au courant des moindres informations concernant SCP-343, d’accéder à toutes les demandes de SCP-343 quand celui-ci exprimait le désir de certaines exigences. Notamment en matière de mobilier, de lectures, ou tout autre élément pouvant le satisfaire. Il était primordial que SCP-343 se sente bien au sein du site, afin que celui-ci ne manifeste pas l’envie de partir. Auquel cas, au vu de ce qu’il était capable de faire, il aurait été impossible de l’en empêcher. Mais ce visage donné par SCP-343 était loin d’être aussi innocent qu’il en donnait l’impression…

 

    Des classes diverses du personnel, normalement interdites de toute visite au sein de sa cellule, se mirent à se rendre en secret auprès de lui. Ceci avec la complicité des gardes chargés de surveiller SCP-343, via les caméras de surveillance disposées dans la pièce où il se trouvait. Ce qui ne fut pas sans conséquence, car permettant à celui-ci de récolter des données sur les mesures de confinement et des capacités des autres SCP. Ainsi que le moyen de contourner les systèmes de verrouillage Hive ou Dive du site. Des faits qui furent mis en lumière par la suite, par certaines petites traces presque anodines (des miettes de hamburger sur le sol, le déplacement d’un objet normalement impossible à effectuer par le SCP du fait de ses fixations de norme H-32…). Il devenait évident que SCP-343 rendait visite aux autres pensionnaires du site la nuit, et qu’il parvenait à modifier les images fournies par les caméras de surveillance pour cacher ses sorties. Vraisemblablement grâce à son pouvoir télékinétique. Comme s’il cherchait un SCP particulier.

 

    Le pire arriva le matin du 13 Décembre 2020. Ce jour-là, SCP-343 n’était plus dans sa cellule : il demeurait introuvable dans l’enceinte du site. Mais il n’y avait pas que ça… 2 SCP de classe Keter avaient disparus eux-aussi. Des Keter extrêmement dangereux qui avaient été rapatriés il y avait quelques mois de cela sur le site. Ils avaient été transférés de manière provisoire à la demande de l’O5, pour répondre à des nécessités de travaux au sein des sites où ils se trouvaient auparavant. Ces deux SCP « évaporés » étaient les SCP-255, aux capacités influant sur le sommeil d’un niveau de dangerosité très élevé ; et SCP-1048, un ours en peluche capable de se cloner, et de nature suffisamment agressive pour qu’il fasse l’objet de mesures spécifiques le concernant. D’autant qu’à l’heure actuelle, la Fondation ne possède pas encore assez d’éléments pour savoir tout le potentiel dangereux de SCP-1048.

 

    Après ça, le Directeur du Site a reçu de graves sanctions de la part de L’O5, pour manque grave à la surveillance de SCP-343. D’ailleurs, beaucoup ici se demandent s’il n’a pas été tout simplement « effacé » et remplacé, si l’on en croit certaines directives reçus, indiquant la venue prochaine d’un nouveau directeur au sein du Site 17. Mais le problème le plus grave venait de savoir ce que SCP-343 comptait faire en ayant emmené avec lui le SCP-255 et le SCP-1048. Juste après la constatation de leur disparition, plusieurs incidents ont révélé des troubles du sommeil très importants de la part des habitants d’une petite ville. Ce qui a  conduit à leur mort cérébrale, 3 à 4 jours après les premiers symptômes. 

 

    Les nettoyeurs et les agents de terrain se sont chargés de modifier les rapports légistes, ainsi que les infos destinées au grand public pour expliquer ces morts. Mais si cette vague continue, il sera difficile de tout étouffer de la même manière. D’autant que d’autres rapports indiquent la présence d’un magasin en Pennsylvanie qu’on dit avoir été attaqué par une armée d’ours en peluche. Ce qui a causé de nombreux blessés. Cet incident a pu être masqué par nos équipes. Il a été évoqué aux médias, de manière officielle, une hystérie collective dû à la fuite d’une poche de gaz souterraine située sous le magasin. A l’arrivée de la FIM affectée, les exemplaires du SCP-1048 avaient tous disparus. On rapporte des cas similaires dans d’autres villes, survenus peu après. Et ce, à des intervalles réguliers.

 

    Nous ignorons encore de quelle manière parvenir à évincer cette crise. Car, à chaque intervention d’une FIM sur place, les éléments provocateurs de ces incidents ont disparu. Ce qui ne laisse que des civils choqués et demandant des soins intensifs. Quel est le but exact de SCP-343 ? Est-ce qu’il cherche à provoquer une panique généralisée dans tout le pays ? Ou est-ce une distraction pour lui, parce qu’il était lassé de jouer au « docteur miracle » auprès du personnel du Site 17 ? Ou bien encore, peut-être qu’à l’image de l’entité « Deux-Néant-Sept », SCP-343 est issu d’un laboratoire de l’Insurrection du Chaos ? Tous les scénarios sont envisageables. Quoi qu’il en soit, si nous savons comment appréhender le SCP-255 et le SCP-1048, afin de les reconfiner, nous ignorons toujours la marche à suivre concernant le SCP-343, au vu de ses capacités dépassant nos connaissances le concernant… Si celui-ci venait à libérer d’autres SCP plus dangereux encore, nous nous retrouverions face à une crise équivalente à celle de 2015. Si cela arrive, il est impossible de prévoir si nous parviendrons, cette fois, à endiguer la crise….

 

Fin du rapport du Major Shelton. Le 10 septembre 2021.

 

N° d’incidence : 3/A+/876.2.87 et 3/A+/ 743.6.51


Publié par Fabs

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