Rapport du Sergent Chef Shelton- FIM bêta-8
Vous
connaissez le vieil adage : « On ne connait jamais vraiment la nature
profonde des gens, même quand on pense tout savoir d’eux » ? Eh bien,
je vais vous prouver qu’elle est on ne peut plus vrai… Et nous avons tous été
berné par cette créature, alors qu’elle nous avait fait tellement de bien
depuis que nous l’avions installé au sein du Site 17 de la Fondation. Grâce à
elle, tellement de personnel a complètement changé en termes de comportement,
obtenant de la joie de vivre, du plaisir à travailler … Que ce soient les
chercheurs, le service d’entretien, l’administration, ou encore les gardes. Y
compris et surtout les Classes D. Les plus soumis au stress et au sentiment de
frustration, vu le peu de reconnaissance qu’en ont les dirigeants du Site.
Un
bien-être à priori à contre-emploi, quand on sait dans quel environnement vit
le personnel de la Fondation. Même les membres du O5, bien que réticents au
départ, car se référant aux travaux du Dr. Carver, le seul à avoir vu le
potentiel pouvant s’avérer dangereux de SCP-343, ont fermé les yeux sur les
classes B et C s’étant entretenu avec SCP-343. Avec une limite cependant aux
membres possédant une accréditation de Niveau 0 à 2. Les niveaux supérieurs
étant systématiquement refoulés de la zone, pour éviter toute fuite
d’informations pouvant être utilisées par SCP-343.
En
revanche le Directeur de Site a reçu des consignes strictes concernant les
Niveau 3 à supérieur, ceux-ci ne devant surtout pas s’approcher de SCP-343,
pour des raisons évidentes. Les secrets détenus par ces niveaux ne pouvant
prendre le risque d’être divulgués, ne sachant pas le niveau d’intelligence et
de manipulation mentale de SCP-343. Une mesure de sécurité nécessaire et se
conformant aux prérogatives du Dr. Carver, à l’opposé de ce que préconisait le
Dr. Beck. Ce dernier, lui, voyait d’un bon ton l’influence positive, de son
point de vue, de SCP-343 auprès du personnel. Et pourtant…
Pourtant,
nous aurions dû écouter dès le départ les recommandations du Dr. Carver. Si nous
avions respecté à la lettre le processus sécuritaire au sein du Site 17, comme
dans n’importe quel autre de la Fondation d’ailleurs, nous n’en serions pas à
un niveau d’alerte maximale concernant SCP-343. Ceci après que celui-ci ai pu
bénéficier de la naïveté de la plupart du personnel, endormi par les belle
paroles de cet être tellement différent des SCP que chacun avait l’habitude de
cotôyer chaque jour, nous ayant mené à ce désastre que nous n’avons pas su
anticiper. A cause de notre manque de méfiance regrettable, des accréditations
de niveau 4 ont pu s’approcher de lui.
Une
faille dans le système de surveillance des cadres administratifs en a été la
cause. Aucun d’entre eux n’a eu le réflexe de penser que leur jugement n’était
pas exempt d’une certaine forme de laxisme, dû à une confiance trop exacerbée
envers le sujet… Une absence de lucidité qui a fait que ces Niveaux 4 ont fait part
d’éléments de dossier concernant les mesures de confinement de classes Euclide
et Keter du Site 17. Ce qui allait à l’encontre de toute procédure de base en
termes de sécurité inhérentes au site. Le résultat a provoqué une crise sans
précédent, de par les aptitudes et capacités de SCP-343, allant bien au-delà de
ce que nous imaginions et ayant été consigné jusqu’alors dans les bases de
données des chercheurs, et mêmes des pôles de direction.
Mais
peut-être faut-il que je précise plus en détail comment tout ça a commencé. Je
me présente : je suis le Sergent-Chef Magnus Shelton, décoré de la Purple
Heart, suite à ma gestion de crise durant les attaques de
« Deux-Néant-Sept » en 2015. Une entité créée de toute pièces par le
groupuscule de l’Insurrection du Chaos (IC) en 2011, dans le but évident de semer
la discorde et une anarchie voulue qui lui aurait permis, sans mon
intervention, de mettre à mal l’économie du pays. Ce qui aurait entrainé leur
mainmise sur les institutions les plus fragiles, et même renverser le pouvoir
en place de l’époque. Et donc, par dommage collatéral, coupé toutes les
subventions permettant à la Fondation d’exister, tout simplement. Sur le long
terme, la multiplication d’autres formes moindres de « Deux-Néant-Sept »
aurait bouleversé les fondements même de notre société, jusqu’à un
anéantissement voulu, faute d’avoir les ressources nécessaires pour parer au
plus pressé, et assurer le maintien des FIM sur tout le territoire.
Du
pain béni pour l’Insurrection du Chaos, qui aurait ainsi eu l’avantage de s’infiltrer
partout, et faire de la Fondation une appartenance du passé. Aujourd’hui encore, on ignore l’identité des
chercheurs à l’origine de la création de « Deux-Néant-Sept », et surtout
comment ils ont pu opérer en toute tranquillité, malgré la surveillance
constant de nos unités envers leurs planques connues. On a soupçonné des
approches directes et discrètes auprès de plusieurs membres des FIM et sections
de moindre importance chargées de surveiller l’organisation ennemie. Approches
qui ont vraisemblablement été suivies de corruption des dirigeant de ces unités
à grand coups de dollars. Si l’on s’en tient à ce scénario, la mise en place du
plan de l’Insurrection du Chaos a été aisé, et à aucun moment leurs membres n’ont
dû être inquiétés d’une action de la Fondation à leur encontre.
Quoiqu’il en soit, cette crise reste considérée
comme l’une des plus graves à laquelle on a pu être confronté. Ses proportions
dramatiques demeurent sans équivalent dans toute l’histoire de la Fondation. C’est
ce qui ressort des affirmations des membres 3 à 8 de l’O5. Les seuls qui
étaient déjà en lice en 2015, contrairement aux autres membres qui ont tous été
remplacés depuis, pour des raisons diverses. En tout cas, c’est ce qui m’a été
confié lors d’une réunion de Niveau 6 auquel j’ai été convié après la crise. Le
plus haut degré existant, et réservé aux cas les plus graves, afin de s’assurer
de la bonne marche à suivre du processus d’après-crise auprès des gradés
impliqués lors de celles-ci. Ce fut la seule fois où j’ai pu rencontrer
plusieurs membres de l’O5 dans la même journée, et dans la même pièce. Ce qui
fait de moi un privilégié, et me vaut toujours aujourd’hui une haute forme de
respect de la part des homes sous mon commandement.
Cette
crise malheureusement mémorable a conduit à de graves dommages sur de nombreux
sites qui n’ont pu être évités. En grande partie à cause d’une méconnaissance
drastique des capacités de « Deux-Néant-Sept », et a eu pour résultat
des pertes de sécurité vitale des Forces d’Intervention Mobiles (FIM). Ainsi
que la découverte de l’existence des SCP auprès de civils. Grâce à la
technologie des chercheurs de la Fondation, ces derniers ont néanmoins pu voir
leur mémoire effacée. Ceci à l’aide des nombreuses FIM en faction sur le
terrain. « Deux-Néant-Sept » disparut de la circulation aussi
soudainement qu’il était apparu après coup, sans qu’on sache de quelle manière
il avait pu réussir à nous échapper, avec toutes les déploiements de forces
engagées à l’époque.
Il refit cependant parler de lui en 2017, lors
de son observation dans une station de métro désaffectée. Ce qui a causé l’attaque
de 5 divisions de FIM, toutes distinctes l’une de l’autre, avant que
« Deux-Néant-Sept » disparaisse à nouveau sous un train qui approchai.
Un élément qui laisse supposer l’utilisation de failles spatio-temporelles de l’entité,
probablement créée par elle. Sa résurgence, à un moment ou un autre dans un
futur proche, n’est donc pas à exclure. Tant les facultés de la création des
chercheurs de l’Insurrection du Chaos restent du domaine de l’inconnu. Tout
comme ses dispositions à semer la destruction partout où elle passe, à un
niveau inégalé, sans qu’on sache comment la freiner ni même mettre fin à ses
agissements.
C’est
suite à ces attaques que les systèmes de verrouillage de la Fondation ont été
renforcées. Notamment par l’apparition des systèmes Hive et Dive, ainsi que
leurs 9 grades d’intensité. Ces derniers allant du stade Gamma-Thanatos (le
plus bas) à Oméga-Tartarus (le plus haut). Il en fut de même pour la mise en
place des IRA (Initiative de Réponse Automatisée) et ses 7 grades. Ceux-ci allant
de Odin-D à Rindre. Autant de mesures de 1ère nécessité, voulues et
créées afin d’empêcher tout dégât pouvant occasionner des brèches de
confinement, et pouvant donc causer d’éventuelles évasions de SCP au-dehors des
Sites. Depuis la mise en place de toutes ces mesures, la Fondation pensait être
à l’abri de toute attaque extérieure. Qu’elles soient d’ordre physique ou
numérique de la part d’organisations parallèles à la Fondation, mais
poursuivant des objectifs différents de celle-ci.
Pour
en revenir au cas du SCP et ses exactions de ces dernières semaines, comment aurions-nous pu imaginer que la découverte de
ce vieil homme dans les rues de Prague, se faisant appeler « Dieu »,
aurait pu être les prémices d’une infiltration comme jamais la Fondation n’en
avait connu ? Je faisais partie de la FIM en charge d’analyser la
situation décrite par des agents de terrain, indiquant la présence d’un homme pourvu
de capacités hors-normes pour un être humain. Enfin, humain en apparence en
tout cas. Une fois sur place, moi et les hommes sous mes ordres, nous avons pu constater
par nous-mêmes les capacités de SCP-343. Il a la possibilité de se mouvoir d’un
endroit à l’autre en une fraction de seconde. Il peut être visible au pied d’un
immeuble à un moment donné, et l’instant d’après on le retrouve au sommet de
celui-ci.
A
priori insaisissable, nous fûmes surpris que celui-ci se laisse approcher très
facilement. C’est même lui qui a demandé à ce qu’on l’enferme. Il affirmait qu’il
avait peur de ses propres pouvoirs, craignant de faire du mal de manière
involontaire autour de lui. Ceci en faisant tomber des objets dangereux pendant
ses déplacements. A noter qu’au vu de ses capacités, SCP-343 ne peut pas être
confiné. En conséquence, celui-ci a lui-même quasiment imposé que ses actes
soient surveillés en permanence, et qu’à ce titre une cellule spéciale lui soit
attribuée. Ce qui est ironique en y pensant, vu qu’il ne s’agit rien d’autre
que d’un spécimen. Aussi étonnant soit-il. Des recommandations de sa part, tel
qu’il l’a déclaré lui-même, afin qu’il ait un semblant d’espace de vie. Ceci en
attendant que les chercheurs du Site 17 aient la possibilité de l’étudier en
profondeur, comme n’importe quel autre SCP disposé derrière les murs d’un site
de la Fondation.
Quand
l’un des membres du personnel affilié à SCP-343 demanda à ce dernier de lui
montrer en quoi il méritait le nom de « Dieu », honorification qu’il
s’était lui-même donnée, celui-ci se mit à marcher au plafond, aussi
naturellement que cela pouvait être. Puis, il est sorti de la cellule en
passant à travers les murs, avant de revenir quelques secondes plus tard avec
un menu XXL d’un McDonald’s situé à plusieurs kilomètres de distance. Le tout
en arborant un sourire amusé… Ce n’étaient pas les seules dispositions dont
était capable SCP-343. Toute personne l’approchant ressentait une joie de vivre
impressionnante. Toute sensation de déprime disparaissait, et cela pouvait
aller encore plus loin. Des maladies
graves telles que cancers, hémophilie, ou problèmes cardiaques, étaient annihilés
des corps, simplement par une proximité avec SCP-343.
De
ce fait, la présence de ce « faiseur de miracles » au sein du Site 17
eut un effet « boule de neige » : nombre de membres du
personnel, toutes classes et accréditations confondues, demandèrent à approcher
SCP-343. Toutes avaient l’espoir de ressentir ce bien-être et se voir guérir de
leurs problèmes de santé. Avec pour seul
contrepartie l’impératif de discuter avec lui, à sa demande. Car c’était
aussi un fait qui accentuait la popularité de SCP-343 auprès de tous : il
était jovial et écoutait les petits malheurs de ceux venant discuter avec lui.
Il leur proposait des solutions ou se chargeait de les résoudre directement. Je
ne voyais pas tout ce qui se passait au sein du site de manière personnelle.
Car me retrouvant souvent sur le terrain, à l’extérieur. Mais j’en avais
connaissance par des gardes que je connaissais bien. Ils me rapportaient de
manière régulière de nombreuses infos concernant SCP-343. Ainsi que ses
« miracles ».
Bientôt,
la possibilité que ce dernier profite de ces moments pour obtenir des
informations arriva aux oreilles de l’O5. Celui-ci mit à disposition du Site le
Dr. Carver, afin d’assister le Dr. Beck. Ce dernier étant jusqu’alors le seul
chercheur autorisé à étudier en profondeur le cas du SCP-343. Le Dr. Carver
émit vite l’hypothèse que SCP-343 était capable de lire les pensées, et qu’il
pouvait voler des données de nature confidentielles et potentiellement
dangereuses. Ceci à l’insu des membres du personnel venant le
« consulter », tel une sorte de gourou d’un nouveau genre. Une situation
qui inquiétait l’O5. Raison pour laquelle les directives que je vous ai
énoncées plus haut dans ce récit furent mises en place, à la demande du Dr.
Carver. Ce qui l’opposa fermement au Dr. Beck, qui lui, voyait plutôt SCP-343
comme une sorte de stimulant au personnel du Site.
Depuis
l’arrivée de SCP-343, le moral du personnel d’entretien, des chercheurs, des
gardes et même de l’administration n’avait jamais été aussi haut. Les sourires
visibles sur les visages de tout ceux ayant eu l’autorisation de lui rendre
visite s’accumulèrent. En remerciement, il fut accordé par le directeur du
site, en accord avec l’O5 qui se tenait au courant des moindres informations concernant
SCP-343, d’accéder à toutes les demandes de SCP-343 quand celui-ci exprimait le
désir de certaines exigences. Notamment en matière de mobilier, de lectures, ou
tout autre élément pouvant le satisfaire. Il était primordial que SCP-343 se
sente bien au sein du site, afin que celui-ci ne manifeste pas l’envie de
partir. Auquel cas, au vu de ce qu’il était capable de faire, il aurait été
impossible de l’en empêcher. Mais ce visage donné par SCP-343 était loin d’être
aussi innocent qu’il en donnait l’impression…
Des
classes diverses du personnel, normalement interdites de toute visite au sein
de sa cellule, se mirent à se rendre en secret auprès de lui. Ceci avec la
complicité des gardes chargés de surveiller SCP-343, via les caméras de
surveillance disposées dans la pièce où il se trouvait. Ce qui ne fut pas sans
conséquence, car permettant à celui-ci de récolter des données sur les mesures
de confinement et des capacités des autres SCP. Ainsi que le moyen de
contourner les systèmes de verrouillage Hive ou Dive du site. Des faits qui
furent mis en lumière par la suite, par certaines petites traces presque
anodines (des miettes de hamburger sur le sol, le déplacement d’un objet
normalement impossible à effectuer par le SCP du fait de ses fixations de norme
H-32…). Il devenait évident que SCP-343 rendait visite aux autres pensionnaires
du site la nuit, et qu’il parvenait à modifier les images fournies par les
caméras de surveillance pour cacher ses sorties. Vraisemblablement grâce à son
pouvoir télékinétique. Comme s’il cherchait un SCP particulier.
Le pire arriva le matin du 13 Décembre 2020. Ce jour-là, SCP-343 n’était plus
dans sa cellule : il demeurait introuvable dans l’enceinte du site. Mais
il n’y avait pas que ça… 2 SCP de classe Keter avaient disparus eux-aussi. Des
Keter extrêmement dangereux qui avaient été rapatriés il y avait quelques mois de
cela sur le site. Ils avaient été transférés de manière provisoire à la demande
de l’O5, pour répondre à des nécessités de travaux au sein des sites où ils se
trouvaient auparavant. Ces deux SCP « évaporés » étaient les SCP-255,
aux capacités influant sur le sommeil d’un niveau de dangerosité très élevé ;
et SCP-1048, un ours en peluche capable de se cloner, et de nature suffisamment
agressive pour qu’il fasse l’objet de mesures spécifiques le concernant.
D’autant qu’à l’heure actuelle, la Fondation ne possède pas encore assez
d’éléments pour savoir tout le potentiel dangereux de SCP-1048.
Après
ça, le Directeur du Site a reçu de graves sanctions de la part de L’O5, pour manque
grave à la surveillance de SCP-343. D’ailleurs, beaucoup ici se demandent s’il
n’a pas été tout simplement « effacé » et remplacé, si l’on en croit
certaines directives reçus, indiquant la venue prochaine d’un nouveau directeur
au sein du Site 17. Mais le problème le plus grave venait de savoir ce que
SCP-343 comptait faire en ayant emmené avec lui le SCP-255 et le SCP-1048. Juste
après la constatation de leur disparition, plusieurs incidents ont révélé des
troubles du sommeil très importants de la part des habitants d’une petite ville.
Ce qui a conduit à leur mort cérébrale, 3
à 4 jours après les premiers symptômes.
Les
nettoyeurs et les agents de terrain se sont chargés de modifier les rapports
légistes, ainsi que les infos destinées au grand public pour expliquer ces
morts. Mais si cette vague continue, il sera difficile de tout étouffer de la
même manière. D’autant que d’autres rapports indiquent la présence d’un magasin
en Pennsylvanie qu’on dit avoir été attaqué par une armée d’ours en peluche. Ce
qui a causé de nombreux blessés. Cet incident a pu être masqué par nos équipes.
Il a été évoqué aux médias, de manière officielle, une hystérie collective dû à
la fuite d’une poche de gaz souterraine située sous le magasin. A l’arrivée de
la FIM affectée, les exemplaires du SCP-1048 avaient tous disparus. On rapporte
des cas similaires dans d’autres villes, survenus peu après. Et ce, à des
intervalles réguliers.
Nous
ignorons encore de quelle manière parvenir à évincer cette crise. Car, à chaque
intervention d’une FIM sur place, les éléments provocateurs de ces incidents
ont disparu. Ce qui ne laisse que des civils choqués et demandant des soins
intensifs. Quel est le but exact de SCP-343 ? Est-ce qu’il cherche à
provoquer une panique généralisée dans tout le pays ? Ou est-ce une
distraction pour lui, parce qu’il était lassé de jouer au « docteur
miracle » auprès du personnel du Site 17 ? Ou bien encore, peut-être
qu’à l’image de l’entité « Deux-Néant-Sept », SCP-343 est issu d’un
laboratoire de l’Insurrection du Chaos ? Tous les scénarios sont
envisageables. Quoi qu’il en soit, si nous savons comment appréhender le
SCP-255 et le SCP-1048, afin de les reconfiner, nous ignorons toujours la
marche à suivre concernant le SCP-343, au vu de ses capacités dépassant nos
connaissances le concernant… Si celui-ci venait à libérer d’autres SCP plus
dangereux encore, nous nous retrouverions face à une crise équivalente à celle
de 2015. Si cela arrive, il est impossible de prévoir si nous parviendrons,
cette fois, à endiguer la crise….
Fin du rapport du Major Shelton. Le
10 septembre 2021.
N°
d’incidence : 3/A+/876.2.87 et 3/A+/ 743.6.51
Publié par Fabs
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